Le dernier verset de la Fatiha (sourate de l'Ouverture du Coran) parle-t-il vraiment des juifs et des chrétiens, lorsqu'il traite de ceux qui se sont égarés ou ont encouru la « colère » (terme que nous devons également remettre en question) de Dieu? La prière la plus importante des musulmans, qu'ils répètent maintes fois par jour, servirait-elle vraiment à se remémorer constamment l'égarement d'autrui?
Dans ce vidéo, Shaykh Hamdi répond à l'interrogation d'un frère à ce sujet et clarifie ce que le verset désigne lorsqu'il divise les gens en trois groupes distincts. Effectivement, face à un chemin que nous appelés à emprunter, il y a toujours trois possibilités: emprunter ce chemin, refuser le faire, ou encore l'emprunter d'abord avant de rebrousser chemin ou de s'égarer sur celui-ci.
Auteur(s) : Sheikh Hamdi Ben Aïssa
Catégorie(s) : Enseignement
Type : Intervention
Tag(s) : chrétiens fatiha juifs égarement
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